Alors que les scientifiques engagés refusent de débattre avec les profanes et que les autres scientifiques ont été dégagés, et alors que les incertitudes scientifiques ont été postulées comme certaines par les milieux médiatiques
et politiques, il faut bien présenter les éléments clés qui font problème.
Celle ou celui qui me diffamera comme un négationniste ou un denier du climat s'expose aux foudres de la raison. Le dernier hérétique
a été brûlé au XIXè siècle, il vaut mieux en rester là.
La réalité du changement climatique.
Pas de doute à ce sujet
(si l’on entend “changement” dans son sens général)
La réalité du phénomène de forçage radiatif par les gaz dits à effet de serre (GES).
Pas de doute à ce sujet.
Les émissions anthropogènes de CO2 et autres gaz à effet de serre dans l’atmosphère
Pas de doute à ce sujet.
Environ 45% du CO2 émis s’accumule dans l’atmosphère.
La sensibilité du climat à la concentration du CO2
(et des autres gaz à effet de serre).
La fourchette de 1,5 à 4,5 °C pour un doublement du CO2 n’est pas démontrée.
La définition de ECS par le GIEC implique une instabilité inhérente du climat, ce qui n’est pas le cas.
La validité des modèles utilisés pour déterminer cette sensibilité et refléter aussi tous les autres phénomènes contributifs à des changements climatiques.
Les modèles surchauffent systématiquement.
Ils ne sont pas valides pour extrapoler l’évolution du climat à 30-100 ans.
Les marges d’incertitudes sont si vastes que les résultats ne signifient que ce que l’on désire y lire.
La plausibilité des scénarios prospectifs.
Le scénario RCP8.5 est exagéré, mais c’est celui qui est constamment retenu pour sonner l’alarme.
Le « consensus scientifique » entre climatologues et au-delà des climatologues
Ce consensus existe pour les observations réalisées, la validité des phénomènes physiques impliqués, et le bilan d’émissions de CO2.
Il ne peut y avoir consensus scientifique au sujet de la sensibilité de climat aux concentrations de GES.
Il ne peut y avoir consensus scientifique sur aucune projection dans le futur et sur aucune spéculation écologico-économico-politique.
L’évaluation des risques et bénéfices posés par un futur changement climatique.
Les évaluations des dégâts anticipés de moins de 2 points de PIB dans 80 ans ne justifient pas l’urgence d’engager des coûts gigantesques.
Les bénéfices d’un réchauffement modéré sont réels.
La fixation d’un objectif à une politique climatique.
Un réchauffement supérieur à 1,5 ou 2 °C n’est pas non plus une catastrophe et n’entraîne pas les sacrifices socio-économiques demandés.
L’efficacité des mesures de mitigation à “corriger” le climat.
87% de l’approvisionnement énergétique du Monde seraient à substituer ou à compenser par séquestration définitive du CO2.
Les programmes de décarbonation à 15 ou 30 ans sont irréalistes. Même en cas de réussite la réponse du climat est très incertaine.
L’opportunité de déclarer un état d’urgence ou de parler de crise climatique
Cet appel a un caractère hystérique et mensonger, intellectuellement malhonnête.
Ce type de comportement n’est pas du tout durable car l’opinion publique finit par s’en détourner.
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