Un débat peut exister lorsque différentes parties sont ouvertes à discuter
de leurs points de vue différents sur un sujet donné.

Un débat n'existera jamais si un parti dominant et dogmatique impose ses vues à tous les autres.

Le débat sur le climat commence par le dogme du réchauffement climatique anthropogénique (AGW) qui repose sur quatre assertions :

  1. Le réchauffement climatique a lieu,
  2. Les émissions de dioxyde de carbone et d'autres GES l'expliquent,
  3. Leur concentration accrue dans l'atmosphère est due aux activités humaines.
  4. Les conséquences ne pourront qu'être néfastes, surtout pour les plus pauvres.

L'AGW ouvre la voie à des prévisions alarmantes pour un avenir incertain :

  • Augmentation continue de la température.
    Pour tout doublement de la concentration atmosphérique du CO2, le GIEC indique dans son 5ème rapport. "La sensibilité climatique d'équilibre est probablement comprise entre 1,5°C et 4,5°C (confiance élevée), extrêmement improbable inférieure à 1°C (confiance élevée), et très improbable supérieure à 6°C (confiance moyenne)."
    Notons ici que l'approche du bilan thermique utilisée dans les calculs du modèle donne une sensibilité de 0,5 à 0,8 °C, toutes les incertitudes de rétroaction étant prises en compte telles que publiées par le GIEC.
    Comme il est montré dans ce site, mon hérésie est de ne pas accepter le pseudo-consensus exagéré du GIEC.
  • Les changements climatiques mondiaux sont capables d'atteindre un point de basculement irréversible.
  • Changements dans les conditions de vie sur Terre :

- météo : conditions en cours (température) ;
- des événements catastrophiques plus fréquents (ouragans, tornades, vagues de chaleur, fortes pluies) ;
- la fonte de la glace et du pergélisol dans les pôles et dans les montagnes ;
- migration des espèces animales et végétales ;
- perte de biodiversité, extinction d'espèces sensibles ;
- l'acidification des mers.

  • Impact catastrophique sur de grands groupes de population :

- l'élévation du niveau de la mer, la perte de terres ;
- augmentation la fréquence et de l'intensité des catastrophes naturelles ;
- perturbation de l'approvisionnement en eau douce ;
- sécheresses et inondations entraînant des pertes de récoltes.

  •     Les troubles sociaux résultant de tout ce qui précède, et les grands flux d'émigration de personnes à la recherche d'un havre sûr.

Après plus de trente ans, et malgré les prétentions d'un consensus scientifique, l'affaire est loin d'être close.

Il faut réfuter point par point ces affirnations péremptoires et mal fondées.