• Depuis le début de l'ère industrielle, l'augmentation de la température de 1 °C qui a été observée ne s’est pas révélé un facteur de changement fondamental des climats des zones peuplées du monde.
  • Il est un fait que l'industrie humaine contribue à l'augmentation de la température, mais une grande part de celle-ci ne peut pas être attribuée aux gaz dits à effet de serre.
  • Nous vivons dans des climats différents, sujets à de grandes différences de température et de précipitations.
    Les changements saisonniers des conditions météorologiques ou les événements catastrophiques ne peuvent pas et ne doivent pas être interprétés comme indicateurs du changement climatique; une telle attitude est irresponsable, non étayée par les faits et les tendances récentes.
  • Les climats méritent d'être étudiés; comme ils changent très lentement cela prendra très longtemps, des siècles, car contrairement à beaucoup d'autres recherches scientifiques, nous ne disposons que d'une seule expérience qui est en cours dans un seul laboratoire, celle de notre planète Terre.
  • Cependant, notre impatience ne doit pas nous emporter à utiliser de frêles modèles informatiques, quelle que soit leur complexité, afin de déterminer comment le climat est et devra être.
    Les exagérations auxquelles mènent des scénarios irréalistes ne doivent pas servir de référence.
    Une telle approche n’est ni raisonnable ni scientifique et, jusqu'à présent, n’a pas pu être validée. Des fictions générées in silico n’ont rien à faire dans les décisions politiques.
  • La mise en œuvre urgente et massive de programmes de décarbonations ne sont ni réalistes ni socialement acceptables.
    L'approvisionnement du monde en énergie primaire dépend à 87% des carburants fossiles, Cela ne passera pas à un net zéro en 10 ans, voire une trentaine d'années..
    L'impact du CO2 sur le climat étant vastement exagéré, les politiques de restriction n'auront que des effets mineurs alors que les coûts sociaux seraient, eux, considérables.
  • Mis à part des stations d'hiver de basse altitude trop souvent privées de neige il n'y a pas de victimes du changement climatique connues à ce jour, même si les conditions climatiques continuent d'en faire.
    Des exagérations, des interprétations erronées et des mensonges au sujet de catastrophes actuelles et possibles sont utilisés pour contraindre le monde vers une gouvernance mondiale qui a toutes les saveurs du collectivisme.
  • L'histoire de l’humanité montre qu’elle s’est bien adaptée aux changements avant, pendant et après la dernière glaciation.
    Il y a par ailleurs des avantages qu'un réchauffement peut offrir ; certains, tel le reverdissement du Sahel, sont déjà constatables.
    Pourquoi cette adaptabilité devarit-elle être ignorée, quelles que soient les causes de ces changements?
  • Nous avons du temps devant nous pour agir raisonnablement.
    Il est urgent de rejeter les appels à une mobilisation urgente et totale au prétexte d'une "crise climatique".
  • "L'urgence climatique" est devenue dogme. Cette idéologie digne de l'Inquisition ne doit pas être tolérée.
  • Mais, dans les gouvernements, les médias, les industries et services, et les ONG, de nombreux corps se sont maintenant constitués qui vivent très bien, trop bien, de ces désastreuses prophéties climatiques.
  • Beaucoup de courage politique est devenu nécessaire pour changer le cours de cette malheureuse et scandaleuse farce.